Here Maps, l'appli de guidage GPS gratuite, devient Here WeGo

Here Maps, l'appli de guidage GPS gratuite, devient Here WeGo. Disponible sous iOS ou sous Android, elle intègre désormais de nombreuses fonctions dédiées à la mobilité urbaine : à pied, à vélo, en taxi, en autopartage ou en transport en commun.
Concurrente des Google Maps, TomTom Go Mobile ou encore Waze, Here Maps évolue enfin. Elle se modernise avec une interface qui se veut plus fonctionnelle. Dès l’écran d’accueil, vous saisissez une destination et les différents chemins pour y arriver vous sont proposés. Mais avant tout, Here WeGo se propose d’être LE spécialiste de la mobilité urbaine.

Here WeGo Application GPS

En ville

L’application intègre désormais des informations sur les transports en commun dans plus de 1 200 villes dans le monde. Un mode d’affichage spécifique est même prévu pour se concentrer sur ces lignes de métro, de RER, de bus et de tramway.

Mode piéton, itinéraires cyclistes, recherche de taxis…

Chaque trajet est estimé selon sa durée et son coût. Les itinéraires routiers qui se terminent vous propose un guidage piéton pour le dernier kilomètre synchronisé avec des suggestions de stationnement.

Un nouveau menu apparaît en cliquant sur des petits points colorés en bas de la fenêtre de guidage. A cet endroit on trouve également les POI à proximité tels que les pharmacies, stations-services ou encore les restaurants.

Un mode hors connexion très intéressant

Techniquement peu de changement car il faut toujours télécharger les cartes (Par Pays ou Etats) à l’avance pour en disposer sur son smartphone et ainsi pouvoir être guidé même sans connexion.

150 pays sont disponibles avec, pour la plupart, guidage vocal activé dont 55 avec les infos trafics. En revanche aucun signalement de zone de danger et pas d’interaction possible avec le reste de la communauté.

Les autres points faibles d’Here WeGo

Tout d’abord, il est impossibilité de créer un itinéraire avec plusieurs étapes. Ensuite, lorsqu’on utilise le téléphone en mode, l’écran de guidage pivote mais pas l’écran de paramétrage. Pour finir la version Android est plus complète que la version iOS.

Et si vous achetiez un SUV ?

Il y a encore quelques années on ne parlait pas de SUV ou de Crossovers. Les berlines régnaient en maitre, concurrencées par les monospaces après l’arrivée du premier Scénic dans les années 90.

On avait 3 catégories de monospaces : les citadins, les compacts et les grands monospaces.

Cette mode des monospaces a engendré beaucoup de modèles et de concurrences… Mais dorénavant, la mode est aux SUV.

Qu’est ce qu’un SUV ?

Un SUV est une version grand public des 4X4 tout terrains : pas questions de franchissement ou autres. La plupart ne sont vendus qu’en 2 roues motrices.

 

Volvo XC90

Pourquoi acheter un faux 

4X4 ?

Très souvent pour le look, pour une position de conduite surélevée qui donne une impression de sécurité et enfin pour l’espace à bord.

Certains attribuent l’essor des SUV au marketing.

Le lancement de nouveaux SUV est basé sur des études qui tendent à prouver que le segment des SUV va littéralement exploser au détriment des berlines et des monospaces.

Mais n’est-ce pas l’offre qui crée la demande ? A force de voir des publicités avec des SUV vous finissez par succomber… Le bourrage de crâne !

Mais une mode finit toujours par passer. Les grandes berlines et les breaks continuent leur route en véhiculant des valeurs sûres.

Ce que veux un constructeur automobile

Un constructeur automobile a 2 objectifs principaux :

-      Vous vendre des voitures neuves.

-      Vous pousser à rajouter des options pour dépenser encore plus. Pléthores d’équipements intéressants ne se retrouvent que sur les modèles haut de gamme, et encore souvent en option. Loin des autos que vous avez pu voir à la TV.

A ce sujet, préférez un mandataire comme Auto-IES car les voitures proposées sont souvent mieux équipées (plus d’options incluses) et moins chères qu’en concession.

C’est pourquoi les SUV sont une manne pour les manufacturiers automobiles. Plus chers à l’achat ils vous poussent à la consommation car vous acheté l’impression d’avoir une grosse voiture.

Ils sont très souvent construits sur les même plate-formes que les berlines, avec les mêmes moteurs, et pourtant les SUV ont régulièrement des performances en dessous de leurs cousines berlines. Plus lourds, ils accélèrent moins fort, consomment davantage et ont une tenue de route moins efficace.

Et pourquoi pas ?

Sois disant nous sommes nombreux à acheter des SUV pour parader, se montrer, renforcer notre égaux… C’était peut-être le cas il y a encore quelques années quand il y en avait peu sur les routes.

Aujourd’hui nous sommes nombreux à en posséder pour différentes raisons et tout simplement pour le plaisir ! Faut-il toujours tout analyser ?  

Faut-il dépenser un peu plus pour circuler en SUV ?

Dans la majorité des cas non. Mais pourquoi s’en priver pour autant…

Les voitures diesel ne séduisent plus les consommateurs

Les ventes de véhicules gazole ont représenté 52,8% des voitures neuves vendus sur les six premiers mois de l’année. A titre de comparaison c’est le même ratio que pour les années 2001-2002.

Une baisse partout en Europe

On observe les plus gros reculs en Belgique (59,7% en 2015, contre 79% en 2008), au Danemark (31%, contre 46,7% en 2011), en Espagne (62%, contre 70,6% en 2010).

Le diesel est un phénomène quasiment unique à l’Europe et à l'Inde. Partout ailleurs sur la planète il est réservé aux camions, utilitaires, pick-ups… des véhicules pour lesquels il est nécessaire d’avoir du couple pour tracter ou transporter des marchandises. En France, l'engouement sur les véhicules de tourisme date des chocs pétroliers des années 70. A cette période le gouvernement a encouragé son développement car il consommait 15 à 20% de moins que l’essence.

Depuis quelques années on observe un renversement de situation. Le diesel est devenu sale aux yeux des pouvoirs publics et des consommateurs. La campagne anti-diesel bat son plein amplifié depuis septembre en flagrant délit de tricherie sur les émissions polluantes de ses diesels 2015 par la scandale Volkswagen, le constructeur pris aux Etats-Unis.

Les automobilistes commencent aussi à craindre des restrictions de circulation, avec, notamment, le lancement du plan anti-pollution d'Anne Hidalgo à Paris,  qui veut carrément supprimer les véhicules diesels dans sa ville. Un gros paradoxe des pouvoirs publics elle compte bannir les diesels qui ont été achetés avec des bonus écologiques pour la lutte anti-CO2!

Les diesels modernes sont beaucoup plus « propres »

Les vieux véhicules à gazole sont effectivement très polluants. Mais, depuis 2011, tous les diesels sont vendus avec un filtre à particules. Et les derniers moteurs à essence sont devenus plus sophistiqués pour consommer moins ; ils émettent aujourd'hui également ces fameuses particules !

Avec les nouvelles normes Euro 6, les oxydes d'azote sont très réglementés. "Un diesel actuel émet 56% d'oxydes d'azote en moins par rapport aux normes précédentes. Les valeurs autorisées sont désormais les mêmes que pour les mécaniques à essence". Pour finir le diesel garde un avantage en matière de consommation et de CO2. Il est donc difficile de trancher !